VENDREDI APRÈS LES CENDRES

Le jeûne qui me plaît, n’est-ce pas ceci :

faire tomber les chaînes injustes,

délier les attaches du joug,

rendre la liberté aux opprimés,

briser tous les jougs ?

N’est-ce pas partager ton pain avec celui qui a faim,

accueillir chez toi les pauvres sans abri,

couvrir celui que tu verras sans vêtement,

ne pas te dérober à ton semblable ?

Alors ta lumière jaillira comme l’aurore,

et tes forces reviendront vite… (Is.58:6-8)

La charité embrasse tout ; et pour des besoins nouveaux, elle invente, quand il le faut, des moyens nouveaux : secours spirituels, secours corporels, pain de l’âme, pain du corps ; instructions pour l’ignorance ; conseils, direction, appui pour la faiblesse ; asile pour la vertu ou pour la pénitence ; pieux sentiments, douces consolations, force surnaturelle pour le mourant ; tous les genres de bien sont prodigués au nom de Jésus-Christ.

Mgr Eugène de Mazenod, Lettre pastorale du 7 février 1847, Marseille

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