JEUDI, 2ÈME SEMAINE DE CARÊME     

Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare, qui était couvert d’ulcères. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche (Lc. 16:19-20)

Je me mets peu en souci de cet infiniment petit nombre de bourgeois qui n’ont pas encore donné des signes de bonne volonté… Du reste, leurs âmes ne valent ni plus ni moins que celles des derniers manants, si on les considère du côté du prix que le Sauveur a bien voulu en donner.

Lettre à Jean Baptiste Honorat, 28 février 1837, EO IX n 606

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