MARDI, 3ÈME SEMAINE DE CARÊME

Ne nous laisse pas dans la honte, agis envers nous selon ton indulgence et l’abondance de ta miséricorde.
Délivre-nous en renouvelant tes merveilles …

(Dn 3:42-43)

Mais non, vous êtes mon Père, c’est vous qui depuis ma plus tendre enfance m’avez conduit comme par la main. Tout ce que vous avez fait pour moi dans le cours de ma vie est trop présent à ma mémoire, j’en ressens encore aujourd’hui trop vivement les effets pour ne pas compter  sur votre infinie bonté, pour ne pas me jeter en tout abandon dans votre sein paternel, bien résolu de faire cette fois et à jamais tout ce que vous exigerez de moi, dût-il m’en coûter la vie.

Journal de Retraite avant la consécration épiscopale, du 7 au 14 Octobre 1832, EO XV n 166

Ce contenu a été publié dans Uncategorized. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *