VOTRE RÉSIGNATION ET LA CERTITUDE DU MÉRITE QUE VOUS EN RETIREZ DEVANT DIEU

Oh! non, mon cher ami, vous ne sauriez faire vos lettres trop longues et entrer dans trop de détails au sujet de votre pénible mission. Vous ne sauriez croire l’anxiété dans laquelle je suis par rapport à vous tous. Ne recevoir de vos nouvelles qu’à huit mois de date est un vrai tourment pour mon cœur.

Vous savoir privés de beaucoup de choses, mal appréciés par ceux qui devraient baiser les traces de vos pas, est une chose au-dessus de mes forces. C’est un chagrin qui n’est adouci que par la connaissance que vous me donnez de votre résignation et la certitude du mérite que vous en retirez devant Dieu.

Lettre au père Pascal Ricard dans l’Oregon, 10 février 1849, EO I n 110

REFLECTION

« Les épreuves peuvent être le jardin de la compassion. Si tu gardes ton cœur ouvert à travers tout, ta douleur peut devenir ton plus grand allié dans la recherche de l’amour et de la sagesse dans ta vie. » (Rumi)

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