Peu de jours après être arrivé au séminaire pour entreprendre ses études en vue du sacerdoce, Eugène écrivait à sa grand-mère :
Je ne puis jusqu’à présent vous parler que de la vie que nous menons pendant la retraite, tendant malheureusement à sa fin. Nous la terminons demain par une fête qui embaume et qui est propre au séminaire, c’est la fête de la Vie intérieure de la sainte Vierge, c’est-à-dire la fête de toutes les vertus et des plus grandes merveilles du Tout-Puissant. Quelle délicieuse fête! Et combien je vais me réjouir avec la très sainte Vierge de tout ce que Dieu a opéré de grandes choses en elle! Oh! quelle avocate auprès de Dieu! Soyons-lui dévoués.
Lettre à sa grand-mère, 18 octobre 1810, EO XIV n 29.